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Admin/ Maître du monde/ MJ à temps partiel
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 | Sujet: La vie courante  Sam 20 Fév - 20:17 | |
| La vie courante dans l'Empire L’échelle sociale
Les disparités sociales sont monnaies courantes dans l'Empire, bien que plus saisissantes et flagrantes au sein de la capitale. Un véritable gouffre scinde en deux la population, avec en son milieu ceux qui représentent la majorité. Au bas de la société, les plus démunis forment un amas informe d'où il est difficile, voir impossible, de se sortir. Très peu on réussi à améliorer leur condition et à se débarrasser de leur misère. Tout n'y est que privation et l'on économise le moindre bout de chandelle pour survivre. La majorité de ces personnes ne reçoivent qu'une éducation sommaire et sont obligés de travailler dès leur plus jeune âge.
Un échelon plus haut, nous retrouvons la classe moyenne qui compose la majorité de la population. C'est la masse de l'Empire qui ne peut ni se plaindre, ni se vanter. Elle a accès à l'éducation et à un certain confort de vie. Il y a certes des pénuries et des manques de produits, mais rien d'aussi radical que pour les plus pauvres. Avec beaucoup d'efforts et de travail, il est possible de se hisser dans les hautes sphères de l'Empire, mais en restant dans la moyenne, on n'a que peu de chance de faire entendre sa voix.
Enfin, tout en haut de l'échelle, nous retrouvons les nantis de la société. Ceux-ci sont nés avec une cuillère en argent dans la bouche et viennent parfois même d'anciennes familles aristocratiques. Pour faire partie de cette élite il faut avoir un nom ou un pouvoir quelconque, qu'il soit politique ou économique. Ceux-là ne manquent de rien et dépensent leur argent à tout va sans se soucier aucunement de leurs concitoyens qui meurent de faim à quelques kilomètres de là.
Les ressources
L’Empire regorge de ressources aussi bien agricoles qu’humaines. Les sols sont exploités dans une culture à la fois intensive mais aussi extrêmement contrôlée pour un maximum de rendement et des dépenses minimums en argent et en énergie. Cependant ce n’est pas pour autant que la nourriture abonde. En effet, si tous les meilleurs produits sont accessibles aux classes les plus riches, des produits de qualité bien inférieure sont réservés au peuple. On constate même la réapparition d’ersatz (surtout de café, d’alcool et de tabac) à cause du coût des produits à l’importation, et de ticket de rationnement pour certaines denrées. Pour cause, toutes les ressources sont principalement destinées au commerce avec le reste du monde.
Le marché noir
Organisé par la Cible, par des personnes hostiles à la dictature ou encore par quelques profiteurs cherchant à s’enrichir, le marché noir est le meilleur moyen de se procurer ce qui est impossible sur le marché commun (notamment l’alcool et le café, le sucre blanc et le blé entre autre). Il est évidement totalement interdit de le pratiquer ou d’y avoir recours, mais cela n’empêche pas son essor croissant. Les marchés noirs prennent généralement place dans les endroits les plus glauques et mal famés des entrailles de la zone 3, là où même la milice n’aime pas spécialement patrouiller. Ils sont périodiques et les arrivages de produits sont fluctuants et incertains... au gré des pillages de cargaison de denrées destinées aux classes supérieures. Il est parfois possible d’y trouver des armes, là aussi selon ce qui a été récupéré.
Les substances illicites
L'Empire mène une guerre sans merci contre toutes les formes de drogues. Celui qui se fait attraper à en consommer risque de lourdes sanctions, mais ce n'est rien en comparaison avec celui qui en fait la vente. Une peine d'emprisonnement redoutable attend quiconque aimerait faire circuler de la cocaïne, de l'héroïne ou encore de la marijuana. Cependant, comme pour beaucoup d'autres produits, il est possible de s'en procurer dans certaines zones des Quartiers Pauvres. Il est également entendu que l'Empire ferme soigneusement les yeux sur la consommation des plus riches et prospères de ces citoyens, même si cette consommation reste peu appréciée.
La monnaie
Un autre changement lors de l’arrivée de Joane Livingstone, elle a été unifiée pour une monnaie commune à l’Empire et adoptée au fur et à mesure de l’entrée (forcée) des pays par la politique de conquête entreprise par le tyran. C’est donc évidement la Livre Impériale qui a prit la place dans tous les portes-monnaie, en référence à la Livre Sterling anglaise (origine de Livingstone). Une Livre Im (pour Livre Impériale) (ou aussi Liim dans le jargon), correspond à 100 pence. On trouve des billets de 50 £ Im, 20 £ Im, 10 £ Im et 5 £ Im ainsi que des pièces de 2 £ Im, 1 £ Im , 50 p Im, 20 p Im, 10 p Im, 5 p Im, 2 p Im, 1 p Im. (le ‘Im‘ est très important pour ne pas confondre avec la monnaie qui circule encore aujourd’hui en Écosse, pays résistant encore et toujours à l’Empire.)
La langue commune
L’Empire étant composé de plusieurs états aux langues bien différentes, latines, anglo-saxonnes ou encore slaves, lors de l'arrivée de Livingstone au pouvoir il a été décrété que la langue officielle serait l’anglais puisqu’il s’agit de la langue maternelle de l’Impératrice. Cependant les accents sont très reconnaissables parmi la population et il n’est pas rare que dans les différentes provinces circulent encore les langues d’origines.
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